L’architecture non linéaire de l’archipel était une demande spécifique de l’aménageur public pour ne pas reproduire l’effet « rideaux », déjà existant dans le quartier des Terrasses notamment. Des césures ont été imaginées entre chaque bâtiment, matérialisées par des différences de niveaux d’une part, et par les pocket parks (césures paysagères) au niveau de la rue, d’autre part.
Ces espaces de respiration contribuent à faire de l’archipel un ensemble architectural plus « souple », intégré à son environnement et ouvert sur le quartier. Il n’était pas envisageable de construire une passerelle souterraine ; la zone située entre le bâtiment Pemba et le bâtiment Tonga, qui correspond à la culée du pont Césaire, étant un espace public.